Le 14 juin, l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) se joindra à l’initiative « Diplomates pour l’égalité » aux côtés des institutions de l’UE à Vienne pour célébrer l’amour, l’égalité et l’inclusion à la marche des fiertés de Vienne. La marche de cette année s’arrêtera un temps pour rendre hommage aux victimes de la tragique fusillade dans une école de Graz, en signe de solidarité avec les communautés touchées.
10
juin
2025
Cette publication est un extrait du rapport annuel de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), le Fundamental Rights Report 2025 (Rapport sur les droits fondamentaux 2025). Elle présente une sélection de développements critiques en matière de droits fondamentaux en 2024, ainsi que les principales conclusions et avis de la FRA dans les
chapitres du rapport.
Menaces pour la démocratie, niveaux élevés de violence à l’encontre des femmes et violations des droits aux frontières de l’UE - tels sont quelques-uns des principaux défis qui ressortent du rapport 2025 sur les droits fondamentaux de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). Le rapport fournit des preuves accablantes de la menace qui pèse sur les droits fondamentaux à travers l’ensemble de l’Europe. Cela doit servir de signal d’alarme pour les États membres et les institutions de l’UE afin de prévenir l’érosion des droits et d’enrayer le recul démocratique.
L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) a soumis deux contributions à la Commission européenne dans le cadre de la consultation relative au prochain budget à long terme de l’UE. Dans ses observations, la FRA insiste sur la nécessité de renforcer les garanties afin que tous les financements de l’UE respectent les droits fondamentaux et les valeurs fondatrices de l’UE. Elle souligne également l’importance de prendre des mesures pour remédier au rétrécissement de l’espace et du financement des organisations de la société civile (OSC) qui œuvrent en faveur des droits fondamentaux, de la démocratie et de l’État de droit.
L'Agence européenne des droits fondamentaux (FRA) a publié une version actualisée de sa base de données en ligne sur la détention pénale. La base de données comprend des normes nationales, des actes législatifs et des rapports de suivi sur les conditions de détention dans l’ensemble de l’Union européenne et au Royaume-Uni.
Nous, ministère fédéral autrichien des affaires européennes et internationales et missions diplomatiques des pays et organisations mentionnés ci-après, saluons tous la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie (IDAHOBIT) du 17 mai, une célébration de la diversité sexuelle et de genre ainsi que de l’inclusion dans le monde entier. Les droits de l’homme sont universels et s’appliquent de la même manière à toutes les personnes, où qu’elles se trouvent. C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui et chaque jour, nous nous efforçons de lutter contre les discriminations persistantes dont les personnes LGBTIQ+ font l’objet à l’échelle mondiale.
Le récent examen des institutions nationales de défense des droits de l’homme (INDH) par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) montre comment les INDH fournissent des conseils sur les législations et les politiques nationales, comment elles contrôlent les fonds de l’UE ou utilisent la charte des droits fondamentaux de l’UE. Il fournit également des informations sur leur statut en matière d’accréditation et leurs mandats.
L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) expérimente un panel consultatif pour la jeunesse destiné à se faire l’écho de la voix des jeunes sur les questions relatives aux droits fondamentaux dans l’UE. Ce panel est composé de sept jeunes d’horizons divers âgés de 18 à 25 ans, ayant une expérience de travail dans la société civile et en matière de défense des intérêts des jeunes.
Au fil des ans, l’Union a fait des progrès dans la protection de l’enfance, mais selon un rapport de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), de sérieuses lacunes subsistent. Législation et politiques fragmentées, scission des responsabilités et limitation des ressources sont autant d’obstacles à la mise en place de systèmes pleinement intégrés de protection de l’enfant et de ses droits.
Les projets de l’UE visant à créer des centres dans des pays tiers (appelés « centres de retour ») doivent respecter la législation sur les droits fondamentaux, avertit l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) dans un nouveau document de synthèse. Le document présente les garanties qu’il convient de prévoir dans le cadre du droit de l’UE avant la mise en place de tels centres. Il s’agit notamment du respect des droits fondamentaux, de la conclusion d’accords juridiquement contraignants visant à protéger les droits des personnes, et de la mise en place de systèmes indépendants de contrôle en matière de droits humains.